De retour à Phnom Penh

Dimanche 18 décembre : retour sur Phnom Penh

5h30 : réveil de tout le monde, notre bus est encore prévu à 6h30 et notre tuk-tuk est à l'heure pour nous emmener au Sinhcafé.
quelques 6 heures plus tard (oui cette année nous avons limité nos déplacements à des distances plus raisonnables) pour seulement 300km...les routes étant dans un tel état que le bus fait des bonds à chaque trou dans la route.
Enfin nous arrivons tout de même à Phnom Penh vers 12h30 au Sinh et reprenons tout de suite nos billets pour la suite du voyage vers le sud du Cambodge.
Un petit trajet en tuk-tuk et nous revoilà dans la guesthouse où nous avions séjourner la première fois dans cette ville, on récupère nos affaires (car on avait laissé la plupart de sacs pour voyager vers Angkor plus léger). L'après-midi, la première depuis la début est entièrement dédié aux devoirs et cours des garçons (et c'est vraiment pas facile...)...de plus, est ce l'eau que nous avons toujours bu en bouteille ou les légumes mal rincés dans les baraques à nouilles ou à sandwiches mais le fait est incontestable nos sommes tous les 5 sacrément dérangés...(ne riez pas il n'y a qu'un toilette dans la chambre pour 5 et des fois ça se bouscule...heureusement ça n'a duré qu'une journée).

Lundi 19 décembre

Début de journée très studieuse puisque elle est à nouveau consacré aux devoirs (encore plus dur...)

Maël et son copain Davy

et vers midi, nous partons en tuk-tuk dans un resto (avec un peu trop de touristes dedans!), normal c'est un resto qui s'associe à la démarche "childsafe" et mis en place par une ONG pour l'emploi des travailleurs khmers (de plus on est sur dans celui-ci que les repas sont préparés avec de l'eau pure et pas celle du Mékong...après une journée comme hier on laisse reposer nos intestins !!)

Quelques mètres plus loin, nous sommes allés visiter le palais royal (car le Cambodge est un royaume...petit rappel), c'est joli...plein de dorures, de pagodes, de bijoux, des bouddhas dorés de jardins à la française, et encore des dorures, et encore des dorures...

bref, c'est trop, dans un pays qui à besoin de toute l'aide humanitaire pour s'en sortir, où les 3/4 de la population vivent dans de sommaires maisons de bois ou dans la rue...cette étalage de richesse donne à Caroline et à moi ce goût amer de l'injustice beuuuuurrrrrkkkk !!!!